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Une petite fraise, au matin du printemps
Rouge et rayonnante comme l’éclat du soleil
Belle et charmante comme la magie du ciel
De sa chair a laissé une offrande aux gourmands
Et je fus le premier, qui les yeux grand ouverts
Contempla cette enfant de la verte contrée
La cueillant gentiment de mes doits envoûtés
Je futs vite charmé par son parfum d’hier
Je ne puis que penser à ces chaudes journées
De ma courte jeunesse où la beauté d’un fruit
Me faisait rêvasser aux couleurs infinis
C’est alors que je vis, que ce fruit n’était seul
Puisque Dame Nature, à laissé en mon œil
Les reflets de cents fraises en la ferveur de mai
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